Les mêmes demandeurs de punition demandent aussi pour Sarkozy de longue date
L’avocat Thierry Herzog, ainsi que le procureur Gilbert Azibert.
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Sarkozy et Herzog font face à la corruption et favorisé des accusations fondées sur
tentative présumée de soudoyer Azibert de 2014 avec l’intention d’acquérir
informations secrètes sur l’enquête sur le financement de la campagne préélectorale.
L’ ancien président aurait dû riposter avec le soutien de ce haut
officiel à sa demande pour un emploi « confortable » à Monaco.
Azibert était conseiller principal au sommet des appels à l’époque incriminée
la Cour de France. Après tout, il n’a pas obtenu ce poste à Monaco.
En parallèle : Ces maisons pour personnes âgées à Budapest font l’objet d’une interdiction de visite à partir du 1er septembre
Les accusations portées contre Sarkozy sont basées sur un enregistrement du téléphone
conversations entre lui et Herzog.
Sarkozy devant le tribunal lundi a rejeté les charges portées contre sa personne.
« Je n’ai jamais commis la moindre corruption », a-t-il dit
ex-président et a déclaré qu’il va prendre « toutes les mesures disponibles » pour
a effacé son nom.
On pense que le procès se termine jeudi. L’accusé
en cas de condamnation menace jusqu’à dix ans de séjour en prison et condamné à une amende jusqu’à
un million d’euros. Sarkozy, 65 ans droitier qui se dirigeait
Français en 2007-2012, est le premier leader de l’histoire moderne
pays, qui s’est assis sur le banc des accusés, rappelle AFP.
Sarkozy est également accusé d’accepter des millions d’euros de l’ancien Libyen
le dictateur Mouammar Kadhafi pour sa campagne électorale en 2007, et
dépassant la limite financière pendant la campagne échouée en 2012.